Enseignant, il étudie à l'Office radiophonique français et effectue des stages à la télévision à Paris. De retour au Congo, peu après l'indépendance, il signe Le Peuple du Congo-Léo vaincra, un court métrage politique considéré comme le premier film de fiction congolais. Avec des moyens de la télévision, il signe plusieurs courts métrages dont la fiction Kaka-Yo en langue lingala et le documentaire Mwana Keba. Grâce à des fonds français, il signe le premier long métrage, le classique La Rançon de l'Alliance, d'après un roman de Jean Malonga. Ce récit dramatique se déroule pendant la période pré-coloniale où deux tribus, les Tsembo et les Tsoundi se déchirent avant de trouver un compromis en associant le fils et la fille des chefs de tribus. Il signe le moyen métrage Le Corps et l'Esprit primé à Abidjan. De 1982 à 1992, il devient le directeur de la presse présidentielle puis se consacre à des ouvrages sur le cinéma africain (Production Cinématographique et Parti unique), la formation de jeunes réalisateurs et la réalisation de documentaires (L'Habitat pygmée, Madame Ibouna la femme albinos).
FILMOGRAPHIE :
KAKA-YO
(1966)
1966 :
1970 :
1970 :
1974 :
1975 :
1978 :
1978 :
1996 :
2000 :
2002 :
RIEN QUE TOI (Kaka-Yo), court métrage
MWAMA KEBA, moyen métrage
FESTIVAL PANAFRICAIN D'ALGER, documentaire
LA RANÇON D'UNE ALLIANCE
LE CORPS ET L'ESPRIT, moyen métrage
MÉDECIN TRADI-MODERNE, court métrage
LE RÉVEILLON DE NOËL, pour la TV
LE DJIGUIDA, court métrage documentaire
L'HABITAT PYGMÉE, documentaire
MADAME IBOUNA LA FEMME ALBINOS, documentaire