Judit ELEK
 Réalisatrice hongroise
Judit ELEK est née à Budapes, le 10 novembre 1937.
Formée à l'école de Budapest, elle s'impose rapidement comme une des meilleures documentaristes des années soixante. Très influencée par la nouvelle vague française, elle signe une œuvre âpre et sans complaisance sur la société hongroise qui s'attache à décrire des situations de crise individuelle, pour mieux souligner les rapports sociaux. La Dame de Constantinople, Un Village hongrois et Une histoire simple comptent parmi les meilleures réussites du cinéma hongrois. Elle se tourne à la fin de la décennie suivante vers la télévision où elle signe Les Jacobins en 1980. Elle poursuit dans les années 90 un cycle consacré à l'holocauste et aux populations juives. Dire l'Indicible reçoit le concours d'Elie Wiesel et reçoit des récompenses à Cannes. Mal connue en France, elle a cependant peut être fait preuve de trop de rigidité pour intéresser un large public.



FILMOGRAPHIE :

AWAKENING
(1994)
1963 :

1965 :

1966 :

1969 :

1972 :

1974 :

1975 :

1979 :

1980 :

1983 :

1989 :

1994 :

2005 :

2006 :

2009 :
RENCONTRE (Tal lkoz s), court métrage

DES CHÂTEAUX ET LEURS HABITANTS (Kastélyok lakói), court métrage

OÙ FINIT LA VIE ? (Meddig Él Az Ember?), moyen métrage

LA DAME DE CONSTANTINOPLE (Sziget A Szárazföldön)

NOUS NOUS SOMMES RENCONTRÉS EN 1972 (Tal lkozunk 1972-ben)

UN VILLAGE HONGROIS (Istenmezején)

UNE HISTOIRE SIMPLE (Egyszerú Történet)

PEUT-ÊTRE DEMAIN (Holnap, madj holnap)

LES JACOBINS (Vizsg lat Martinovics Ign c sz szv ri ap t és t rsai gyében)

LE JOUR DE MARIA (Márai-Nap)

MÉMOIRE D'UNE RIVIÈRE (Tudajosok)

AWAKENING (Ébredés)

DIRE L'INDICIBLE (Speak the Unspeakable/Mondani a Monhatlatlant)

LE HUITIÈME JOUR DE LA SEMAINE (A hét nyolcadik napja)

RETRACE (Retrace)
 
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