![]() | Kinuyo TANAKA | |
Actrice et réalisatrice japonaise | ||
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Considérée comme l'une des plus grandes actrices japonaises, Kinuyo Tanaka apparaît dans plus de 250 films pendant une carrière d’un demi-siècle. Vedette du cinéma muet à 14 ans, elle a tourné le premier film parlant en 1931 et a joué pour les plus cinéastes japonais de son temps comme Yasujiro Ozu, Mikio Naruse, Heinosuke Gosho, Hiroshi Shimizu, Keisuke Kinoshita et surtout Kenji Mizoguchi qui lui confie des rôles de femmes engagées à la personnalité complexe qu’elle glorifie dans ses réalisations. Kinuyo Tanaka voit le jour à Shimonoseki, préfecture de Yamaguchi, le 29 novembre 1909 au sein d’une famille aisée de négociants dont elle est la benjamine des huit enfants. Mais les finances se détériorent après le décès de son père. Elle apprend le biwa, sorte de luth à manche court de la musique traditionnelle japonaise à l’école élémentaire de Shimonoseki Oe. Elle quitte l’école primaire et rejoint son oncle maternel Yasutaro Kobayashi à Osaka. Star de cinéma à 14 ans Kinuyo Tanaka obtient sa licence de biwa auprès de son professeur Miyazaki Kinjo et fait ses débuts à la Shochiku en 1924 dans un petit rôle dans La Femme de l’ère Genroku et tourne la même année dans Le Pâturage du Village d’Hiroshi Shimizu. Son jeu naturel et l’expressivité de son visage font rapidement d’elle une star des studios. Mariée à l’essai avec Shimizu pendant un an, elle tourne avec lui dix huit films et d’autres cinéastes talentueux vont aussi la diriger comme Yazujiro Ozu (J’ai été diplômé, mais…) Kiyohiko Ushihara (L’Âge de l’émotion, Le Roi de la Terre) et Yasujiro Shimazu (Elle est bien jeune). Elle est l’actrice la plus importante du Japon à la fin du muet. Elle tourne Un Rêve honteux, La Fiancée du Village et Une Silhouette dans la Nuit sous la direction de Heinosuke Gosho dont elle devient l’interprète favorite. C’est avec Gosho qu’elle va passer le cap du parlant avec Mon Amie et mon Épouse. Inquiète à cause de son accent de Shimonoseki, elle va en faire une force et une caractéristique qui lui vaudra une très bonne réputation. Avec Kenji Mizaoguchi Kinuyo Tanaka ne se contente pas d’être une belle actrice adulée. Elle prend des risques au théâtre, tourne jusqu’à dix films par an et montre ses qualités dramatiques dans des œuvres de qualité comme Okoto et Sasuke où elle joue une aveugle ou le trépidant film de gangsters Femmes et Voyous d’Ozu. Elle trouve ses plus grands succès avec Gosho dans La Danseuse d’Izu, Le Fardeau de la Vie, Le Nouveau Chemin, La Chanson du Panier à fleur jusqu’à Là d’où l’on voit les cheminées en 1953. Elle fait des rencontres importantes avec Keisuke Kinoshita (L’Armée, La Ballade de Narayama), Mikio Naruse (Le Fard de Ginza, La Mère, Au gré du courant), Kaneto Shindo (La Tristesse est aux femmes) et surtout Kenji Mizoguchi avec qui elle tourne les plus grands chefs d’œuvre de la Daei comme La Femme de Naniwa, L’Histoire de Musashi Miyamoto, Cinq Femmes autour d’Utamaro, Femmes de la Nuit, La Dame de Musashino, La Vie d’O’Haru femme galante, Les Contes de la Lune vague après la pluie, L’Intendant Sansho. Une Femme dont on parle. Mais le tandem se désunit lorsque le cinéaste refuse de donner son aval pour le passage à la réalisation de la star. Cinéaste de la condition féminine Car Kinuyo Tanaka est la première japonaise à passer derrière la caméra pour six films traitant de la condition féminine avec lyrisme et tendresse. Lettre d'Amour, adapté d'un roman de Fumio Niwa relate la recherche de son premier amour par un ancien soldat marqué par la guerre. La Lune s'est levée sur un scénario d'Ozu et l'interprétation de Chishu Ryu décrit la vie de trois sœurs aux caractères très différents. Maternité éternelle relate la vie de la poétesse Fumiko Nakajo écrasée par sa vie familiale et qui doit lutter contre la maladie. La Princesse errante offre à Machiko Kyo un grand rôle de jeune femme de la noblesse contrainte à épouser un prince rustre. La Femme de l'Ombre évoque la fermeture des maisons closes au début des années soixante. Le travail de Kinuyo Tanaka par les qualités esthétiques qu'il dégage et le soin apporté à la direction des interprètes révèle une authentique cinéaste. Des rôles de grand-mères N’hésitant pas à se vieillir, elle fini sa carrière à la télévision en incarnant de vieilles femmes de la classe populaire. Comment oublier la vieille dame portée par son fils dans la première version de La Ballade de Narayama. Elle ne fait plus que quelques apparitions dans des seconds rôles chez Mikio Naruse (Chronique de mon vagabondage), Kon Ichikawa (Seul sur l'océan Pacifique) ou Akira Kurosawa (Barberousse). Elle fait un retour fracassant sur les écrans dans Bordel N° 8 de Kei Kumai qui lui vaut un Ours d'argent à Berlin. Elle apparaît une dernière fois au cinéma dans La Berceuse de la grande terre de Yasuzo Masumura. Kinuyo Tanaka succombe le 21 mars 1977 des suites d'une tumeur du cerveau à l'âge de 67 ans. Sa carrière, dont la portée non seulement cinématographique mais aussi culturelle, est encore peu reconnue en Occident, n'a peut-être pas encore été pleinement explorée au Japon. FILMOGRAPHIE : | |
![]() Avec Kenji Mizoguchi |
1924 : La Femme de l'ère Genroku (Genroku onna) d’Hotei Nomura 1924 : Le Pâturage du village (Mura no bokujo) d’Hiroshi Shimizu 1925 : Les Petits Artistes ambulants (Chiisaki tabi geinin) d’Hiroshi Shimizu 1925 : Le Cri du torrent (Gekiryu no sakebi) d’Hiroshi Shimizu 1925 : Un amour intrépide (Yukan naru koi) de Yasujiro Shimazu 1925 : La nature juge (Shizen wa sabaku) de Yasujiro Shimazu 1925 : Cent hommes qui se battent d'un même cœur (Isshin-ji no hyakuningiri) d’Hiroshi Shimizu 1925 : Le Guerrier tombé (Ochimusha) d’Hiroshi Shimizu 1925 : Les Liens de l'amour (Koi no honawa) d’Hiroshi Shimizu 1925 : Aucun Avis nécessaire (Goiken gomuyo) de Yoshinobu Ikeda 1926 : Une époque languissante (Nayamashiki koro) d’Hiroshi Shimizu 1926 : Les Gens du Quartier (Machi no hitobito) d’Heinosuke Gosho 1926 : Oh, quelle Incouciance ! (Ara ! Nonki dane) de Yoshinobu Ikeda 1926 : Un Blanc-bec (Obotchan) de Yasujiro Shimazu 1926 : Torrent (Honryu) d’Heinosuke Gosho 1926 : L'Homme trahi (Uragiraremono) d’Hiroshi Shimizu 1926 : Amour et Courage (Koi to ikichi) de Takeo Tsutami 1926 : L'Épée monstrueuse (Yoto) d’Hiroshi Shimizu 1926 : Le Bouton Kara (Kara botan) d’Hotei Nomura 1926 : L’Histoire de Jirocho Shimizu (Shimizu no Jirocho) de Jiro Yoshino 1926 : Elle (Kanojo) d’Heinosuke Gosho 1926 : Lame clignotante (Hiramekuha) de Tadamoto Okubo 1926 : Jeunesse enterrée (Umoretaru seishun) de Yoshinobu Ikeda 1927 : Anto de Torajiro Saito 1927 : Chikashitsu de Takeo Tsutami 1927 : Son petit Homme (Yatsu no sho man) de Tsutomu Shigemune 1927 : Harakiri de Tennoji (Tennoji no harakiri) de Shiro Nakagawa 1927 : Takada no baba de Torajiro Saito 1927 : Un rêve honteux (Hazukashii yume) d’Heinosuke Gosho 1927 : Magie (Mado) de Torajiro Saito 1927 : Le Chant de la Frontière (Kokkyo no uta) de Takeo Tsutami 1927 : Madame Perle (Shinju fujin) de Yoshinobu Ikeda 1927 : Le Tigre blanc (Byakkotai) d’Hotei Nomura 1927 : Le Massacre des 1000 Hommes (Higan sen-nin zan) de Jiro Yoshino 1927 : Musasabi no Sankichi de Tsutomu Shigemune 1927 : L’Homme de la Nuit (Yoru no kyosha) de Takeo Tsutami 1927 : Le Suicide de Kiso (Kiso shinchu) de Jiro Yoshino 1928 : L’Entraînement du Guerrier moderne (Kindai musha shugyo) de Kiyohiko Ushihara 1928 : Chronique d'un pays marin (Kaikokuki) de Teinosuke Kinugasa 1928 : Elle est bien jeune (Moshimo kanojo ga) de Yasujiro Shimazu 1928 : La Fiancée du village (Mura no hanayome) d’Heinosuke Gosho 1928 : L'Âge de l'émotion (Kangeki jidai) de Kiyohiko Ushihara 1928 : Fumetsu no ai de Tsutomu Shigemune 1928 : Yamato, le bûcheron (Eien no kokoro) de Keisuke Sasaki 1928 : Fille de Fer (Tetsu no shojo) de Tadamoto Okubo 1928 : Le beau jeune Homme (Appare bi danshi) de Torajiro Saito 1928 : Une silhouette dans la nuit (Hito no yo no sugata) d’Heinosuke Gosho 1928 : Lui et la campagne (Kare to den'en) de Kiyohiko Ushihara 1928 : Sa Femme quitte son entreprise (Saikun haigyo) de Tadamoto Okubo 1928 : Merci pour ton travail acharné (Gokuro-sama) de Tadamoto Okubo 1928 : Le Roi de la Terre (Riku no oja) de Kiyohiko Ushihara 1928 : Des années de Showa étincelantes (Kagayaku Showa) de Yasujiro Shimazu 1928 : Symphonie de la Jeunesse (Seishun kokyogaku) d’Hotei Nomura 1928 : Mère, ne salis pas ton nom ! (Haha-yo kimi no na o kegasu nakare) d’Heinosuke Gosho 1929 : Le Forgeron de la Forêt (Mori no kajiya) d’Hiroshi Shimizu 1929 : Lions d’Echigo (Echigo jishi) de Yasujiro Shimazu 1929 : Lui et la vie (Kare to jinsei) de Kiyohiko Ushihara 1929 : Une Chanson gaie (Yokina uta) d’Hiroshi Shimizu[note 6] 1929 : Village sans Alouettes (Hibari naku sato) d’Hotei Nomura 1929 : La Grande Ville et le Travail (Daitokai: Rodo-hen) de Kiyohiko Ushihara 1929 : Le Bottin des filles modernes (Shin joseikan) d’Heinosuke Gosho 1929 : Une chanson gaie (Yokina uta) d’Hiroshi Shimizu 1929 : J'ai été diplômé, mais… (Daigaku wa deta keredo) de Yasujiro Ozu 1929 : Le Triomphe de la Montagne (Yama no gaika) de Kiyohiko Ushihara 1929 : Un père et son fils (Oyaji to sono ko) d’Heinosuke Gosho 1930 : La Poigne de Fer (Tekken seisai) d’Hiromasa Nomura 1930 : L'armée avance (Shingun) de Kiyohiko Ushihara 1930 : Le Spectre de la Jeunesse (Seishun fu) de Yoshinobu Ikeda 1930 : J'ai été recalé, mais… (Rakudai wa shita keredo) de Yasujiro Ozu 1930 : Où va la Femme ? (Onna wa doko e iku) de Tadao Ikeda 1930 : Une Vie souriante (Hohoemu jinsei) d’Heinosuke Gosho 1930 : La Grande Forêt (Dai shinrin) d’Heinosuke Gosho 1930 : Daitokai: Bakuhatsu-hen de Kiyohiko Ushihara 1930 : Les Gros Bateaux (Kyosen) de Yasujiro Shimazu 1930 : L'Histoire de Kinuyo (Kinuyo monogatari) d’Heinosuke Gosho 1930 : Journal des passions (Aiyoku no ki) d’Heinosuke Gosho 1930 : Jeunes, pourquoi pleurez-vous ? (Wakamono yo naze naku ka) de Kiyohiko Ushihara 1930 : Mademoiselle (Ojosan) de Yasujiro Ozu 1931 : Amour, sois avec l’humanité (Ai yo jinrui to tomo ni are I - II) de Yasujiro Shimazu 1931 : Hogaraka ni nake de Keisuke Sasaki 1931 : Sœurs (Shimai, partie 1 et 2) de Yoshinobu Ikeda 1931 : Mon amie et mon épouse (Madamu to nyobo) d’Heinosuke Gosho 1931 : Le Clochard et sa Fille (Runpen to sono musume) de Shiro Kido 1931 : Une affaire de nu (Shima no ratai jiken) d’Heinosuke Gosho 1931 : La Ligne de la vie ABC (Seikatsu-sen ABC) de Yasujiro Shimazu 1931 : Femme en détresse (Junan no onna) d’Hotei Nomura[note 6] 1932 : Le Démon de l'or (Konjiki yasha) d’Hotei Nomura 1932 : L’Issue du combat (Shohai) de Yasujiro Shimazu 1932 : Mon idiot de frère (Niisan no baka) d’Heinosuke Gosho 1932 : Les Saules du quartier de Ginza (Ginza no yanagi) d’Heinosuke Gosho 1932 : Le Soleil est à l’est (Taiyo wa higashiyori) de Sessue Hayakawa 1932 : Romance de studio, guide de l'amour (Satsueijo romansu, ren'ai annai) d’H. Gosho 1932 : Les Femmes japonaises brillantes (Kagayake Nippon josei) d’Hiromasa Nomura 1932 : Le Tokyo des amours (Koi no Tokyo) d’Heinosuke Gosho 1932 : Où sont les rêves de jeunesse ? (Sheishun no yume imaizuko) de Yasujiro Ozu 1932 : Zone de tempête (Bofutai) d’Hiroshi Shimizu 1932 : Les 47 Ronin (Chushingura) de Teinosuke Kinugasa 1933 : Les Rêves de la jeune fille mariée (Hanayome no negoto) d’Heinosuke Gosho 1933 : La Danseuse d'Izu (Koi no hana saku Izu no odoriko) d’Heinosuke Gosho 1933 : Une femme de Tokyo (Tokyo no onna) de Yasujiro Ozu 1933 : LaPom-Pom Girl (Oendancho no koi) d’Hiromasa Nomura 1933 : Femmes et Voyous (Hijosen no onna) de Yasujiro Ozu 1933 : Beau Temps et nuageux (Seidon) d’Hotei Nomura 1933 : Kekkon kaido de Tsutomu Shigemune 1933 : Avant de se marier (Yomeiri mae) d’Hiromasa Nomura 1933 : Chinchoge d’Hotei Nomura 1933 : Deux prunelles (Sobo) de Mikio Naruse 1934 : Une Mère orientale (Toyo no haha) d’Hiroshi Shimizu 1934 : Onna keizu d’Hotei Nomura 1934 : Au rythme du printemps (Sakura ondo) d’Heinosuke Gosho 1934 : Constellations sur terre : La Terre (Chijo no seiza: Chijo hen) d’Hotei Nomura 1934 : Constellations sur terre : Constellations ( Chijo no seiza: Seiza hen) d’Hotei Nomura 1934 : Voyage de Noces (Shinkon ryoko) d’Hiromasa Nomura 1934 : Tempête dans la Ville (Machi no bofu) d’Hotei Nomura 1934 : Osayo amoureuse (Osayo koi sugata) de Yasujiro Shimazu 1934 : Une Femme cette nuit-là (Sono yoru no onna) de Yasujiro Shimazu 1934 : Mon Frère aîné (Watashi no niisan) de Yasujiro Shimazu 1935 : Une jeune Fille pure (Hakoiri musume) de Yasujiro Ozu 1935 : L’Amour maternel (Haha no ai) de Yoshinobu Ikeda 1935 : Okoto et Sasuke (Shunkinsho: Okoto to Sasuke) de Yasujiro Shimazu 1935 : Rêver (Yume utsuno) d’Hiromasa Nomura 1935 : Amour éternel (Eikyu no ai) de Yoshinobu Ikeda 1935 : Au moins ce soir (Semete koyoi) de Yasujiro Shimazu 1935 : Le Fardeau de la vie (Jinsei no onimotsu) d’Heinosuke Gosho 1935 : Comparaison de belles-filles (Hanayome kurabe) de Yasujiro Shimazu 1936 : Onatsu Seijuro (Onatsu Seijuro) de Minoru Inuzuka 1936 : Hommes contre femmes (Dansei tai josei) de Yasujiro Shimazu 1936 : Le Nouveau Chemin : Akemi (Shindo: Akemi no maki) d’Heinosuke Gosho 1936 : Le Nouveau Chemin : Ryota (Shindo: Ryota no maki) d’Heinosuke Gosho 1936 : Le Livre de ma Mère (Waga haha no sho) de Yoshinobu Ikeda 1937 : La Chanson du panier à fleur (Hanakago no uta) d’Heinosuke Gosho 1937 : Docteur Kinuyo (Joi Kinuyo sensei) d’Hiromasa Nomura 1937 : L’Expiation d’un Homme (Otoko no tsugunai) d’Hiromasa Nomura 1937 : Bancho sarayashiki de Taizo Fuyushima 1937 : Bien que l’aube soit loin (Akatsuki wa tokere do) de Yasushi Sasaki 1938 : La jeune fille qui fredonne (Hanauta ojosan) de Minoru Shibuya 1938 : Départ (Shuppatsu) d’Hiroshi Shimizu 1938 : La Mère et l'Enfant (Haha to ko) de Minoru Shibuya 1938 : Katsura, l'arbre de l'amour (Aizen katsura) d’Hiromasa Nomura 1938 : La Chanson de la Mère (Haha no uta) de Yasushi Sasaki 1938 : Shinsaku, Corps brûlant (Shinshaku Tonin Okichi) de Minoru Inuzuka 1939 : La Détermination d’Okayo (Okayo no kakugo) de Yasujiro Shimazu 1939 : Vent du sud (Minamikaze) de Minoru Shibuya 1939 : Tonnerre de Printemps (Shunrai) de Keisuke Sasaki 1939 : Zoku aizen katsura d’Hiromasa Nomura 1939 : Des mauvaises herbes avec des fleurs (Hana no aru zasso) d’Hiroshi Shimizu 1939 : Les fruits du mûrier sont écarlates (Kuwa no mi wa akai) d’Hiroshi Shimizu 1939 : Aizen katsura: Kanketsu-hen d’Hiromasa Nomura 1940 : Aizen Tsubaki (Aizome Tsubaki) de Yasushi Sasaki 1940 : J'ai un mari (Watashi ni wa otto ga aru) d’Hiroshi Shimizu 1940 : Le premier amour de Kinuyo (Kinuyo no hatsukoi) d’Hiromasa Nomura 1940 : Priez à l’aube (Akatsuki ni inoru) de Yasushi Sasaki 1940 : La Résolution de la femme I (Josei no kakugo: Junjo no hana) de Minoru Shibuya 1940 : La Résolution de la femme II (Josei no kakugo: Gisei no uta) de Kenkichi Hara 1940 : La Femme de Naniwa (Naniwa onna) de Kenji Mizoguchi 1940 : Apparition sur scène (Butai sugata) d’Hiromasa Nomura 1940 : Okinu et le Commerçant (Okinu to banto) d’Hiromasa Nomura 1941 : Dix jours dans une vie (Tokakan no jinsei) de Minoru Shibuya 1941 : Je vais bien (Genki de ikoyo) d’Hiromasa Nomura 1941 : Fleurs (Hana) de Kozaburo Yoshimura 1941 : Pour une épingle à cheveux (Kanzashi) d’Hiroshi Shimizu 1941 : Journal d'une femme médecin (Joi no kiroku) d’Hiroshi Shimizu 1942 : La Famille (Kazoku) de Minoru Shibuya 1942 : Mère japonaise (Nippon no haha) de Kenkichi Hara 1942 : Une femme (Aru onna) de Minoru Shibuya 1943 : Nuit de veille avant le début de la guerre (Kaisen no zenya) de Kozaburo Yoshimura 1943 : Bombardements d'avions ennemis (Tekki kushu) de Minoru Shibuya 1943 : Le blanc-bec entre en scène (Bochan dohyoiri) de Masahiro Makino 1944 : Trois Générations de Danjuro (Danjuro sandai) de Kenji Mizoguchi 1944 : L’Homme qui est revenu (Kaette kita otoko) de Yuzo Kawashima 1944 : L'Armée (Rikugun) de Keisuke Kinoshita 1944 : L'Histoire de Musashi Miyamoto (Miyamoto Musashi) de Kenji Mizoguchi 1945 : Le Chant de la victoire (Hissho ka) de Kenji Mizoguchi, Masahiro Makino, Hiroshi Shimizu 1945 : L'Arc au temple de Sanjusangendo (Sanjusangendo toshiya monogatari) de Mikio Naruse 1946 : Chanson du panier de fleurs (Nikoniko taikai uta no hanakago) d’Hideo Oba 1946 : Ce qu’elle a dit (Kanojo no hatsugen) d’Hiromasa Nomura 1946 : La Victoire des femmes (Josei no shori) de Kenji Mizoguchi 1946 : Cinq Femmes autour d'Utamaro (Utamaro o meguru gonin no onna) de Kenji Mizoguchi 1947 : Le Mariage (Kekkon) de Keisuke Kinoshita 1947 : L'Amour de l'actrice Sumako (Joyu Sumako no koi) de Kenji Mizoguchi 1947 : Le Phénix (Fushicho) de Keisuke Kinoshita 1948 : Femmes de la nuit (Yoru no onnatachi) de Kenji Mizoguchi 1948 : Une poule dans le vent (Kaze no naka no mendori) de Yasujiro Ozu 1949 : Flamme de mon amour (Waga koi wa moenu) de Kenji Mizoguchi 1949 : Le Fantôme de Yotsuya (Shinshaku Yotsuya kaidan: Zenpen) de Keisuke Kinoshita 1949 : Le Fantôme de Yotsuya II (Shinshaku Yotsuya kaidan: Kohen) de Keisuke Kinoshita 1949 : Danse dans l'après-midi (Mahiru no embukyoku) de Kozaburo Yoshimura 1950 : L'Anneau de fiançailles (Konyaku yubiwa) de Keisuke Kinoshita 1950 : Les Sœurs Munakata (Munakata kyodai) de Yasujiro Ozu 1950 : Attention à la Femme (Okusama ni goyojin) de Noboru Nakamura 1951 : Le Palanquin mystérieux (Oborokago) de Daisuke Ito 1951 : Le Fard de Ginza (Ginza kesho) de Mikio Naruse 1951 : Miss Oyu (Oyu-sama) de Kenji Mizoguchi 1951 : Veuve de la Nuit (Yoru no mibojin) de Koji Shima 1951 : La Dame de Musashino (Musashino fujin) de Kenji Mizoguchi 1951 : Pont Aizen (Aizen-kyo) d'Akira Nobuchi 1951 : Les Cahiers Inazuma (Inazuma soshi) d’Hiroshi Inagaki 1952 : La Vie d'O'Haru femme galante (Saikaku ichidai onna) de Kenji Mizoguchi 1952 : Les Sœurs de Nishijin (Nishijin no shimai) de Kozaburo Yoshimura 1952 : La Famille Ataka (Atakake no hitobito) de Seiji Hisamatsu 1952 : La Mère (Okaasan) de Mikio Naruse 1952 : Secrète (Himitsu) de Seiji Hisamatsu 1953 : Le Cœur sincère (Magokoro) de Masaki Kobayashi 1953 : Là d'où l'on voit les cheminées (Entotsu no mieru basho) d’Heinosuke Gosho 1953 : Les Contes de la lune vague après la pluie (Ugetsu monogatari) de Kenji Mizoguchi 1953 : Le nouveau livre Taiokoki (Shinsho Taikoki) de Ryo Hagiwara 1953 : Le Trône du maître de nô (Shishi no za) de Daisuke Ito 1953 : Lettre d'amour (Koibumi) de Kinuyo Tanaka 1954 : L'Intendant Sansho (Sansho dayu) de Kenji Mizoguchi 1954 : Calendrier de femmes (Onna no koyomi) de Seiji Hisamatsu 1954 : Une femme dont on parle (Uwasa no onna) de Kenji Mizoguchi 1955 : La lune s'est levée (Tsuki wa noborinu) de Kinuyo Tanaka 1955 : Quand les Oiseaux migrateurs reviendront-ils ? (Wataridori itsu kaeru) de S. Hisamatsu 1955 : Mineur condamné à mort (Shonen shikeishu) de Ren Yoshimura 1955 : Parapluie au clair de lune (Tsukiyo no kasa) de Seiji Hisamatsu 1955 : Le Maître d'échecs (Osho ichidai) de Daisuke Ito 1955 : Maternité éternelle (Chibusa yo eien nare) de Kinuyo Tanaka 1956 : Confession amoureuse (Iro zange) de Yutaka Abe 1956 : Famille recomposée (Zakkyo kazoku) de Seiji Hisamatsu 1956 : Ayani chérie (Aya ni ai shiki) de Jukichi Uno 1956 : Avec des Prisonnières (Joshu to tomo ni) de Seiji Hisamatsu 1956 : Tempête (Arachi) d’Hiroshi Inagaki 1956 : Au gré du courant (Nagareru) de Mikio Naruse 1957 : Le Corbeau jaune (Kiiroi karasu) d’Heinosuke Gosho 1957 : Les Demi-frères (Ibo kyodai) de Miyoji Ieki 1957 : La Geisha du vieux quartier (Kottai-san yori: Nyotai wa kanashiku) d’Hiroshi Inagaki 1957 : Sur la terre (Chijo) de Kozaburo Yoshimura 1958 : La tristesse est aux femmes (Kanashimi wa onna dakeni) de Kaneto Shindo 1958 : La Ballade de Narayama (Narayama bushiko) de Keisuke Kinoshita 1958 : Fleurs d'équinoxe (Higanbana) de Yasujiro Ozu 1958 : L'Arc-en-ciel éternel (Kono ten no niji) de Keisuke Kinoshita 1959 : La Mère et ses Enfants (Hahakogusa) de So Yamamura 1959 : Des Filles merveilleuses (Subarashiki musumetachi) de Miyoji Ieki 1959 : Le Soleil tombé (Taiyo ni somuku mono) de Tatsuo Sakai 1959 : Une histoire d'amour de Naniwa (Naniwa no koi no monogatari) de Tomu Uchida 1959 : La Naissance du Japon (Nippon tanjo) d’Hiroshi Inagaki 1960 : Tendre et folle adolescence (Ototo) de Kon Ichikawa 1961 : Même quand nous vivons séparés (Wakarete ikiru toki mo) d’Hiromichi Horikawa 1962 : Chronique de mon vagabondage (Horoki) de Mikio Naruse 1962 : L’épéiste Danpei (Tateshi Danpei) de Shunkai Mizuho 1962 : Longue vie à Maman (Ka-chan nagaiki shitene) de Yoshiro Kawazu 1963 : Cérémonie de Mariage (Kekkonshiki kekkonshiki) de Noboru Nakamura 1963 : La Légende du combat à mort (Shito no densetsu) de Keisuke Kinoshita 1963 : Seul sur l'océan Pacifique (Taiheiyo hitori-botchi) de Kon Ichikawa 1963 : La Mer étincelante (Hikaru umi) de Ko Nakahira 1964 : Le Parfum de l'encens (Koge) de Keisuke Kinoshita 1964 : Tant que le Ciel existe (Kono sora no aru kagiri) d’Hideo Sakurai 1965 : Les Années de la Mère (Haha no saigetsu) de Junzo Mizukawa 1965 : Barberousse (Akahige) d'Akira Kurosawa 1971 : Madame Heike (Nyonin Heike) de Tokuzo Tanaka (tv) 1972 : C'est dur d'être un homme, Rêve éveillé (Otoko wa tsurai yo) de Yoji Yamada 1973 : Rébellion d’un seul Homme (Tatta hitori no hanran) de Maruya Saiichi (tv) 1974 : À bientôt (Jane) de Tokuzo Tanaka (tv) 1974 : Trois Vieilles Dames (Sanbaba) de Noboru Nakamura 1974 : La Bague (Rin rin to) de Moriwake Hisao (tv) 1974 : Bordel N° 8 : Nostalgie (Sandakan hachibanshokan bokyo) de Kei Kumai 1975 : Le Chemin sur lequel je suis (Ore no iku michi) de Shigeyuki Yamane 1976 : Le Cap du nord (Kita no misaki) de Kei Kumai 1976 : La Berceuse de la grande terre (Daichi no komoriuta) de Yasuzo Masumura 1976 : Ville fantôme (Maboroshi no machi) de So Kuramoto (tv) Filmographie de Kinuyo TANAKA | |
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